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 « L’imagination a le droit de se griser à l’ombre de l’arbre dont elle fait une forêt. » (Pv Solina )

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Clyde Moebius !


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MessageSujet: « L’imagination a le droit de se griser à l’ombre de l’arbre dont elle fait une forêt. » (Pv Solina )   « L’imagination a le droit de se griser à l’ombre de l’arbre dont elle fait une forêt. » (Pv Solina ) EmptyDim 31 Mar - 9:10

[En plein travaux pour la mise en pages]



La nuit était longue, sombre et ennuyeuse.... (Comme ta b.. vie ! )
Sombre ? Plutôt d'un noir étain ! Les quelque luciole céleste qui résistait encore et toujours contre l'envahisseur perdait peu à peu de leur vigueur ! Leur combat était de plus en plus rude et la défaite de plus en plus proche. Les quelques nuages encore taciturne (qui, trop flemmard, ne prenaient pas la peine d'aider ses amis les lucioles) ouvrais lentement leurs paupières reflètent ainsi la couleur de la lune dans leur grande sclère blanchâtre.

La montre de Clyde affichait 7h22 et - ''Putain d'soleil, ça fait 20 minutes que tu devrais être réveillé.'' Assis en tailleur, la main au paquet. Il fixait les joues rouge de honte et le regard humide du ciel qui commençait à perdre patience. Ce derneir ruminait, fulminait, tournait en rond. Son regard brillé d'impatience. Lui aussi prié le soleil de se montrer. Clyde essayé de parler au ciel histoire de le consoler mais, inconsolable, il commença à chialer faisant ruisseler sur le visage du jeune homme une rivière de larme salé.

7H46, arrivée du pleutre. À peine entrée dans le tableau que cette enculer bousilla tout le panorama. Un orange rougeâtre dégueulasse pris la place du somptueux noir corbeaux qui recouvrait il y a encore quelque instant toute la forêt. Les quelques rayons qu'il dégageait brillé de milles feu et ce reflété dans le reste des larmes du ciel encore contrarié.
*La lune fessait le même boulot, mais elle au moins, elle était belle ! (En plus elle ne me défonçait pas les yeux .... Connard)*

Après ce massacre Clyde pris l'initiative d'aller se dégourdir les talons. Marchent parmi les arbres, enfleurent de ses doigts usé la rugosité de l'écorce de ces dernier. Il laissa son imaginaire se réveiller. Quelque Animaux fougueux, le sommeil aux paupière et le courage au poumon, s'en aller travailler. Certain, dans leur grande
bonté, voler à ses coté. Peu bavard, leurs compagnies lui étaient inutiles ? Mais parfois,
un peu d'altruisme ça a du bon non ?
Clyde a bien essayé de leur parler, il commença avec la formule basique et hypocrite du * comment allez-vous ?* Mais après avoir compris que les insectes étaient dénué de corde vocales il stoppa son expérience d'échange social interracial.

Malgré toute la vivacité de celle-ci, la forets, qui quelque instant au par avant semblait si chaleureuse est plaine de vie, paraissait maintenant froide et vide. *Putain de lune... reviens moi..*
Clyde ce dirigea vers le plus gros conifère qu'il avait en ligne de mire, déposent délicatement son dos le long d'un tronc il le fit glisser jusqu'à ce trouver fesse contre terre. Il renifla vulgairement et cracha le dépôt de mucus qui se trouvaient maintenant dans sa bouche. Essuyant un reste de salive qui
s'était attaché à la commissure de ses lèvres il remarqua que l'atmosphère avait littéralement changé. Un calme platonique c'était installé et une légère brume c'était élevé. Les insectes avaient disparue et le vent c'était arrêté de souffler. Le temps était comme figé. Pinçant ses lèvres avec ses dents, Clyde, constata qu'il n'étais pas en train de rêver. Il profita de cette pause cosmique pour fermer les paupières et pour reposer ses yeux. Après tout, cela faisait déjà quelque heure qu'il titubait dans cette forêt.

Quand les lourdes paupières de Clyde pris le courage de bailler, c'est pupille maintenant dénudé s'aperçut qu'un visage qui leur étais familier se trouver à leur portés. * Crochet ? Putain crochet c'est toi ? *
Un homme affublai d'une dégaine de pirate marcher nonchalesement en direction d'une souche d'arbre. D'un bon majestueux il monta sur ce qu'il étais autrefois un beau tronc comme sûr le dos d'un cheval. Enfilent ses pieds dans l'étrillé il claqua du pied sur le flanc de son fier destrier et s'envola en direction des étoiles.
*Encore ce vieux poisson pourri* pensa Clyde.
Après quelque secondes de réflexion Clyde Trifouilla ses poches pour en sortir son bonnet vert et une cigarette. Enfilent son couvre-chef de la main droite et allumant ça clope à l'aide d'un zippo de la gauche il commencer à se lever. Une fois debout il fouilla une seconde fois ses poches et en sortie son ami clochette de l'une d'entre elle. Après avoir quelque peux secouer cette dernière il s'aspergea le visage de poudre, rengaina sont ami et après avoir placé ses bras en croix il s'élança lui aussi en direction des étoiles espèrent de toutes ses force d'être assez rapide pour rattraper cet enflure.


Dernière édition par Clyde Moebius le Sam 27 Avr - 22:47, édité 4 fois
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L’imagination a le droit de se griser à l’ombre de l’arbre dont elle fait une forêt.
« Aujourd'hui, maman est morte. Ou peut-être hier, je ne sais pas. J'ai reçu un télégramme de l'asile: "Mère décédée. Enterrement demain. Sentiments distingués." Cela ne veut rien dire. C'était peut-être hier. L'asile de vieillards est à Marengo, à quatre-vingts kilomètres d'Alger. Je prendrai l'autobus à deux heures et j'arriverai dans l'après-midi. Ainsi, je pourrai veiller et je rentrerai demain soir. J'ai demandé deux jours de congé à mon patron et il ne pouvait pas me les refuser avec une excuse pareille. Mais il n'avait pas l'air content. Je lui ai même dit : "Ce n'est pas de ma faute." II n'a pas répondu. J'ai pensé alors que je n'aurais pas dû lui dire cela. En somme, je n'avais pas à m'excuser. C'était plutôt à lui de me présenter ses condoléances. Mais il le fera sans doute après-demain, quand il me verra en deuil. Pour le moment, c'est un peu comme si maman n'était pas morte. Après l'enterrement, au contraire, ce sera une affaire classée et tout aura revêtu une allure plus officielle. »

C'était le matin. 8 heures environs. L'étranger de Camus. Voilà ce que je lisais, tandis que les rayons du soleil passaient entre les branches des peupliers et autres saules pleureurs et venaient à se refléter sur les pages de mon livre. C'est ce genre de temps qui pourrait te faire perdre la tête.. Genre, sauter d'une falaise et être heureux. Limite, une musique super triste en arrière fond, en ayant l'impression de devoir faire des sacrifices.. Genre « Ecoute moi s'il te plait. Je t'aime. Je t'aimerai toujours. J'ai une tache à accomplir. Dis lui que j'ai enfin compris et que tout va bien. Dis à mes amis que je les aime. C'est à toi de prendre soin d'eux maintenant. Prends soin de chacun d'entre eux. Il faut que tu sois forte. La chose la plus difficile sur cette terre c'est d'y vivre. Sois brave. Survis. Pour moi. » Sauf que dans mon cas.. Je peux pas dire ça ! Et puis, malgré le fait que l'idée de la mort me soit venu pas mal de fois, je peux pas me permettre, après tant d'années ou j'ai subis l'enfer, de sauter dans le vide. Ce serait un peu le contraire de ce que je suis. Solina la gentille, Solina la fille heureuse, Solina où tout va très bien..

« Lui parti, j'ai retrouvé le calme. J'étais épuisé et je me suis jeté sur ma couchette. Je crois que j'ai dormi parce que je me suis réveillé avec des étoiles sur le visage. Des bruits de campagne montaient jusqu'à moi. Des odeurs de nuit, de terre et de sel rafraîchissaient mes tempes. La merveilleuse paix de cet été endormi entrait en moi comme une marée. A ce moment, et à la limite de la nuit, des sirènes ont hurlé. Elles annonçaient des départs pour un monde qui maintenant m'était à jamais indifférent. Pour la première fois depuis bien longtemps, j'ai pensé à maman. Il m'a semblé que je comprenais pourquoi à la fin d'une vie elle avait pris un «fiancé», pourquoi elle avait joué à recommencer. Là-bas, là-bas aussi, autour de cet asile où des vies s'éteignaient, le soir était comme une trêve mélancolique. Si près de la mort, maman devait s'y sentir libérée et prête à tout revivre. Personne, personne n'avait le droit de pleurer sur elle. Et moi aussi, je me suis senti prêt à tout revivre. Comme si cette grande colère m'avait purgé du mal, vidé d'espoir, devant cette nuit chargée de signes et d'étoiles, je m'ouvrais pour la première fois à la tendre indifférence du monde. De l'éprouver si pareil à moi, si fraternel enfin, j'ai senti que j'avais été heureux, et que je l'étais encore. Pour que tout soit consommé, pour que je me sente moins seul, il me restait à souhaiter qu'il y ait beaucoup de spectateurs le jour de mon exécution et qu'ils m'accueillent avec des cris de haine. »

C'est fou à quel point je me retrouvais dans ce livre. J'avais l'impression d'exister au moins quelque part, pour quelqu'un, tandis que mes parents me manquaient chaque jour. Un peu plus.

J'étais tellement concentrée dans mon livre, que je n'en voyais pas l'heure tourner. Cependant des phrases dans ma tête se mélangeaient entre les lignes.

« Encore ce vieux poisson pourri »

C'est moi le poisson pourri ? Tandis que je cherchais désespérément à qui appartenait cette phrase, outre le fait que cela me disait quelque chose, je partais à la recherche de cet individu qui avait sorti ça. Peut-être était-il en train de rêver ? Ou bien, il était en train de me regarder, sûrement qu'il savait pour moi ! Ou.. Non. Solina. Ta gueule. Vraiment. A un moment, il faut que tu percutes, que certaines personnes ne savent pas pour toi. Voilà.
J'arpentais les moindres recoins de la forêt, calme, sans un bruit, où seuls mes pas sur mes branches venaient à briser le silence qui entourait tout l'espace que j'occupais. Soit, pas des masses. Un peu plus loin, se trouvait un jeune garçon, qui n'avait sûrement pas dormi de la nuit, voir de plusieurs nuits d'affilées. Je décidais tout de même de m'approcher de lui. Il n'avait pas l'air méchant, et devait avoir mon âge environs.

« Excuse-moi, tu es sûr que tout va bien ? »

Que voulez-vous que je sorte de plus ? Il pense à des choses bizarres qui me coupent dans ma lecture, et en plus de ça, il se trouve tout seul. Autant quelqu'un aurait été à ses côtés, il n'y aurait pas eu de problèmes avec son "insulte". Mais là.. Peut-être était-il drogué ou je n'sais quoi. Mais pour l'instant, il me faisait surtout de la peine. On aurait dit qu'il avait passé la nuit dehors.


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